Ils ont choisi de se former chez GRTgaz... et ne regrettent rien !
Qu'ils soient stagiaires ou apprentis, Victor Shimaru, Marianne Hilaire et Pauline Penet ont en commun d'avoir rejoint GRTgaz voici quelques mois. Qualité des missions, force de l'encadrement... Ils racontent leurs débuts (réussis) dans le groupe.
Etudiante en master Ingénierie et ergonomie de l'activité physique à l'université Clermont Auvergne, Marianne Hilaire rêvait d'un poste en alternance en lien avec la recherche. Elle l'a trouvé au sein de RICE (Research and Innovation Center for Energy) à GRTgaz. Interview.
« Je n'aurais pas pu rêver meilleur accueil ! »Marianne Hilaire
Alternante chez RICE (Research and Innovation Center for Energy) - GRTgaz
Mon profil est assez particulier. J'ai d'abord suivi une formation médicale, avant de m'orienter vers un master en ergonomie orienté recherche. Quand je suis tombée sur l'offre de GRTgaz, qui cherchait un apprenti ergonome pour des projets de conception au sein de RICE, j'ai compris qu'il ne fallait surtout pas que je passe à côté ! Elle correspondait parfaitement à ce que je cherchais : un centre de recherche dans la résolution des problématiques liées à la transition énergétique. Et pour moi, c'était l'occasion rêvée de découvrir un univers nouveau dans un secteur d’avenir.
A vrai dire, je n'aurais pas pu rêver meilleur accueil ! Lors des premiers entretiens, réalisés à distance, le courant est immédiatement passé avec la chargée de recrutement puis avec mes futurs tuteurs et collègues ergonomes. J’ai senti que nous étions sur la même longueur d'onde et j'ai réussi à me projeter sans difficulté. Le suivi est excellent également. Mon tuteur se rend très disponible pour moi. Dès que j’en ai besoin, il organise des temps d’échange, ce qui m’a permis de débloquer des situations difficiles. De toute façon, quand on est ergonome, on est particulièrement attaché à la qualité du lien humain. Cela tombe bien, il est très préservé ici. C'est l'un des points forts de GRTgaz.
Le projet au cœur de mon alternance concerne la conception des postes de biométhane. Ma mission consiste à y intégrer l’ergonomie. C'est un projet très avancé : j'analyse l'existant, j'observe comment les opérateurs de maintenance utilisent le poste, le travail qu'ils y fournissent, les difficultés auxquelles ils font face. A partir de ces observations, j'identifie des pistes d'amélioration pour leur simplifier la vie.
Ce qui a peut-être été un peu frustrant au début était de ne pas pouvoir se rendre sur le terrain. Il faut dire que nous étions en plus dans une phase exploratoire. Nous en sortons désormais et les observations sur le terrain vont se multiplier dans les mois à venir. J’ai hâte !
Je ne pensais pas que l'on me confierait un projet si important ! Les postes de biométhane sont appelés à se multiplier en France dans les années à venir. C'est beaucoup de responsabilité. Je prends donc ma mission très à cœur. Il faut dire qu’on me fait confiance ! En tant qu'étudiante, c’est très motivant de savoir que son travail aura un véritable impact, et travailler dans un centre de recherche, qui plus est dans une équipe en or et bienveillante, il n'y a pas mieux !
Etudiante en BTS, Pauline Penet a rejoint en janvier la station de compression de Taisnières-sur-Hon en alternance. Pour elle, la découverte est totale. Interview.
« Un véritable esprit de confiance »Pauline Penet
Alternante à la Direction des opérations
Deux mois après avoir commencé une licence de langues étrangères, à Valenciennes, je me suis rendue compte que ces études ne me convenaient pas ! Je me suis alors réorientée vers un BTS en gestion de la PME et PMI pour lequel il fallait que je trouve une alternance. J’ai entendu parler de GRTgaz par le bouche-à-oreille. Puis, j’ai vu passer sur les réseaux sociaux une offre de poste en alternance dans l'équipe PMO (Project Management Office) de la station de compression de GRTgaz de Taisnières-sur-Hon (Nord). J'ai postulé et j'ai été reçue peu après en entretien.
D'abord, j’ai ressenti une grande clarté lors de l'entretien, qui m'a permis de bien saisir mon poste et ce qu'on attendait de moi. Quand je suis arrivée dans le service, en janvier, je me suis sentie tout de suite accueillie. C'est peut-être un détail, mais mon bureau était prêt et cela se voyait qu'on m'attendait. On m'a ensuite présentée à tous les membres de l'équipe et chacun d'entre eux a pris le temps de m'expliquer sa place et son rôle, c'était très agréable d'arriver dans ces conditions.
Pas du tout ! Je me suis bien sûr renseignée avant de passer l'entretien et de prendre mon poste. Aujourd'hui, j’essaye au maximum de comprendre ce que font mes collègues, je me renseigne, j’écoute, j’apprends tous les jours. Je travaille quand même dans la plus grosse centrale à compression de France !
Elles sont administratives. Elles vont de la mise à jour des annuaires à l’organisation des visites médicales. Ma tâche la plus importante concerne toutefois les commandes : je passe des commandes de fournitures ou des commandes plus importantes, je les mets en signature, je les réceptionne. Cela demande de l’organisation et j’aime ça. Je ne m’ennuie jamais.
C’est de me sentir utile et d'avoir l'impression d'apporter quelque chose à l'entreprise, même en tant qu’alternante. Je suis ici depuis peu, mais les agents viennent me voir pour me demander des services, j'ai toujours quelque chose à apporter. Il règne un vrai esprit de confiance.
Victor Shimaru, étudiant ingénieur à l'ICAM (Institut Catholique d'Arts et Métiers) de Lille, réalise son stage de fin d'études au sein du pôle projet de la direction commerciale. Accueil, encadrement, mission, télétravail... Il se confie.
« J’ai découvert ici une culture forte de l'accueil et de l'échange. »Victor Shimaru, stagiaire à la Direction commerciale
Il correspond totalement à ce que je cherchais : ma mission est ancrée dans l'actualité et la transition énergétique, je travaille autour d'un réel besoin et je vois l'utilité de mon travail au quotidien. Bref, tout fait sens ! Ce que j’apprécie aussi beaucoup, c'est d'être inclus dans des discussions qui ne me concernent pas de prime abord, mais qui me permettent de découvrir d'autres aspects des projets. On me fait participer au-delà du périmètre de ma mission, c'est génial.
Je suis stagiaire au sein du pôle projet de la direction commerciale, très précisément sur le projet de gazéification hydrothermale, une filière émergente de valorisation de la matière organique en syngas, ou gaz de synthèse, qui pourrait être opérationnelle d'ici 2023-2025. Ma première mission est de récupérer des data auprès d'un prestataire spécialisé pour créer une base de données autour des quelques 80 intrants différents. Mes deux autres missions consistent à identifier le business model des filières de valorisation de la matière organique et réaliser une veille sur les évolutions réglementaires dans le domaine.
J'ai toujours souhaité m'orienter vers les énergies vertes, sujet qui me passionne depuis longtemps. J'ai découvert GRTgaz lors de ma 4e année d'études, au cours d'une intervention où les projets de développement autour des gaz renouvelables avaient été évoqués. Quand il a fallu chercher un stage de fin d'études, je suis donc allé consulter les offres sur le site de GRTgaz, où j'ai trouvé cette proposition qui correspondait en tous points à mes compétences et mes attentes !
Lors de l'entretien, j'ai été impressionné par le un niveau d'exigence. Mon futur tuteur attendait beaucoup de moi et souhaitait s’assurer que j'avais le bagage suffisant pour le rejoindre. Cela m'a mis en confiance. On attendait que je sois responsable et proactif : un stagiaire qui aille de l'avant et ne soit pas trop scolaire. Tant mieux, c'est tout ce que je désirais !
Totalement. On me donne des responsabilités et de la liberté et tout cela me donne envie de faire de mon mieux. Mais en parallèle, je suis très soutenu et je peux compter sur une forte réactivité autour de moi.
Non, car j'ai eu la chance de passer quelques jours dans les bureaux au tout début, ce qui m'a permis de rencontrer d'autres collègues, de sentir l'ambiance et la manière de travailler. Ce contact concret m'a beaucoup aidé pour me lancer. J’ai découvert ici une culture forte de l'accueil et de l'échange. Je ne suis pas abandonné à mon sort, loin de là ! Le télétravail n'est pas un problème quand on t'offre un peu de liberté et que tu as à cœur, comme moi, de faire du bon travail. C'est gagnant-gagnant, un cercle vertueux : plus tu es sérieux, plus on t'accorde de la confiance… et mieux tu travailles.